À partir d'un texte de Daniil Harms, traduit par André Markowicz.
C'est le récit d'un autre auteur. Le texte commence par : «â€¯Un nouvel écrivain très doué, (son nom), a pondu un récit ». Il se termine par un commentaire sur cet auteur. Ce récit reprend les personnages d’un conte ou d’une histoire que vous connaissez, mais il les emmène ailleurs. C’est un enchaînement d’actions et de paroles.
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Un nouvel écrivain très doué, Pierre Aime-Rick Artaunovic, a pondu un récit :
Il fut un jour où le professeur Walter Blanc se mit dans l'idée de vendre de la farine blanche à ses élèves. Tout émoustillé, il se jette corps et âme dans son projet. Son fils, Walter Blanc Junior, étant également son élève, prit connaissance du projet titanesque de Walter Blanc Senior et aussitôt balança son père à sa mère Walter Blanche. Cette dernière, en apprenant le plan stratosphérique de son conjoint, appela directement le frère de Walter premier du nom, Walter Brother. Celui-là même qui faisait partie de la brigade anti-farine de la police. Walter Brother ayant eu écho du dessein colossal de son frère, lui rendit immédiatement visite. Walter Brother engueula son frère et ce dernier se décida finalement à vendre du sucre blanc à ses élèves.
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Victor
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Un nouvel écrivain très doué, Maxime Carreras, a pondu une histoire :
Dans la vallée des fées, celles-ci se rassemblaient sur l'arbre enchanté. Pourquoi ? Parce que le rire d'un bébé fait naître une fée. Eh bien, ça y est, elle est née, d'une fleur blanche. Toutes les autres fées toussaient parce qu'en fait, elle est née d'un pollen, la pauvre. Le pire, c'est qu'elle est née grande, alors que c'est une fée, trop bizarre. La reine lui souhaite la bienvenue et la nomme Clochette. En fait, elle avait les cheveux châtain clair, ça veut dire qu'elle était pas mal. Et genre, le seul gars du camp s'est moqué de Clochette pour son nom d'idiote. Je rappelle qu'il s'appelle Henri. Il n'a aucun talent. Chaque fée a un talent, celui de Clochette c'est rien, c'est le vide, une bougie dans la lumière. Elle sert à rien, sans talent. Son identité est à moitié désignée. Elle loge au 3, branche du Pollen. Elle travaille au-dessus, dans l'allée des Nuages d'orages. Ah oui, j'oubliais, elle n'a pas ses papiers, elle a été obligée d'aller voir la reine qui lui a donné des feuilles d'inscription au prochain stage des sans-papiers. Clochette s'est retrouvée avec une feuille de lys et la reine l'a tamponnée avec une pomme de pin. Une petite marguerite de deux pépins, quand même, pour envoyer l'inscription. La cigogne arrive en trois minutes. Elle vient chercher le courrier.
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Christelle
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Un nouvel écrivain très doué, Rachel, a pondu un récit :
Au fin fond de la citée des fées, vivaient dans un royaume construite à moitié de bonbons et pour l'autre par des sachets de thé, un prince et une princesse qui ne peuvent pas vivre l'un sans l'autre. Pourtant, ils ne se voyaient que rarement. Si durant une journée, vous n'entendiez pas une insulte sortir de leur bouche, c'est que le royaume allait s'effondrer. Devrais-je corriger ma phrase par "Ils ne peuvent pas vivre l'un sans l'autre sans se disputer au moins une fois par journée"?
Lundi matin, elle lui proposa de lire un livre auquel il n'aurait jamais pensé toucher un jour. Après avoir feuilleté quelques pages, celui-ci lui dit : "Eh mais c'est drôlement marrant ta merde, pourquoi tu m'as pas dit de lire ça avant ?". N'ayant aucune envie de répondre à un crétin, elle l'ignora.
Mardi matin, elle lui proposa d'aller voir la mer ; d'un air étonné, celui-ci répond : "Pourquoi tu veux aller voir ma mère?". Murmurant "La mer, la mère, le maire... je crois que son vocabulaire est tellement développé qu'son cerveau a fait un court circuit ahahah!", elle s'en va.
Mercredi matin, une discussion veillait sur le silence :
Le prince : Ma chère, est-ce vrai?
La princesse : Qu'est-ce qui est vrai?
Le prince : Qu'il faut toujours voir le bon côté des choses?
La princesse : Oui
Le prince : Mon bouffon m'a dit que si je tombe dans les escaliers, le bon côté des choses, c'est que je suis déjà en bas... mais j'me suis niqué en tombant, faut quand même voir cela positivement? Nom d'une noix de coco, qu'il est ridicule notre bouffon...
La princesse s'en va loin, loin de la philosophie monstrueusement... unique? de son bien-aimé.
Jeudi matin, le prince avait perdu sa bouteille où se trouvait sa boisson préférée. Tous deux se mirent à chercher dans tout le royaume, pour qu'après une journée de labeur, le prince se rappelle qu'il avait mis sa bouteille dans une armoire... "Ma foi, un vrai débile..." dit-elle. Et ils recommencèrent à se chamailler, si bien qu'on pouvait entendre de loin : "c'est toi la stupide avec ton pied carré".
Vendredi matin, la princesse voulait se faire un piercing au nez et demanda conseil à celui-ci :
Le prince : C'est moche.
La princesse : Quel manque de style...
Le prince : Vous ressemblez à une vache, sans vouloir vous vexer, ma chère.
La princesse : Pourquoi vous ai-je demandé votre avis...
Le prince : Cela ne vous fait pas peur? Vous auriez un trou dans votre pif ma foi...
La princesse : Cessez !
Le prince : Puis-je vous poser une question ?
Le princesse : Si je vous dis non, la poserez-vous ?
Le prince : Cela doit être un oui. Bien, ce que je vais vous demander est essentiel. Imaginons que vous ayez une crotte de nez qui colle à la vis qui maintient votre piercing, cela veut dire qu'il n'est plus possible de l'enlever ?
La princesse : Pourquoi m'attendais-je à ce genre de question ?
Le prince : Répondez-moi, j'en suis confus.
La princesse : Taisez-vous et allez dormir, cela vaut mieux pour moi-même ainsi que pour la survie de nos habitants.
Le prince : Sorcière !
La princesse : Chiabrena !
Le prince : Puterelle !
La nuit tombe, du fin fond des cachots du royaume jusqu'aux étoiles où dort Frèreuh Jacques, on entendait encore ces deux imbéciles exprimer leur amour par des grossièretés.
Voilà donc le récit pondu par Rachel, je précise que c'est l'auteur de ce roman et non une poule. Rien que par ce seul récit, on peut juger que Rachel est M.E.R.V.E.I.L.L.E.U.S.E. No no, ce n'est que la vérité, je ne veux pas entendre de "Quelle prétentieuse" héhé... Bon à vrai dire, un secret, c'est censé ne pas être révélé, mais je vais vous le dire quand même. En vérité, elle s'est inspirée de quelqu'un qu'elle a connu dans le passé pour écrire ce récit, mais c'est un secret bien que ça ne soit plus un secret, ça reste néanmoins toujours un secret!
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Rachel
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Un nouvel écrivain très doué, Richar Pascalévitch, a pondu un récit :
Il était une fois, dans un camp de vacances, un jeune garçon français, Werner, et une jeune fille allemande, Marie-Laure. Ils se rencontrèrent. Werner était un jeune homme aveugle passionné par la littérature et Marie-Laure, une jeune fille douée pour les sciences et techniques. Ils prirent un repas ensemble et s'échangèrent leurs numéros.
Le lendemain, Marie-Laure envoya son ami Volkheimer tuer Werner car il lui avait volé une pièce d'un euro. Werner se trouvait face à Volkheimer, dans la cuisine. Volkheimer courut vers Werner, casserole à la main. Werner, pris de panique, se recroquevilla et Volkheimer ne pouvant ralentir sauta par une fenêtre et mourut.
Marie-Laure envoya donc Jutta, sa sœur, M. Leblanc, son père, tuer Werner. S'ensuivit une course poursuite. Cette course poursuite provoqua la Seconde Guerre Mondiale.
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Frédéric
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Un nouvel écrivain très doué, Jean de la Luc, a pondu un récit :
Il était une fois des enfants dans un orphelinat, ils n'étaient pas frères et sœurs mais formaient une grande et belle famille. Une seule femme portait la responsabilité de s'occuper d'eux, on l'appelait "Mama". Tous ces enfants avaient comme caractéristique qu'ils portaient tous les mêmes vêtements et avaient tous une série de nombres tatoués sur eux. Cet orphelinat se trouvait dans une résidence délimitée par quatre murs.
Trois de ces enfants, Emma, Norman et Ray, ont un jour découvert la vérité. Ce n'était pas un orphelinat, mais une ferme d'élevage d'humains qui servait un nourrir les démons qui avaient commencé à gouverner la Terre il y a 3000 ans. Ces enfants élaboraient un plan, mais ils moururent tous les trois après que "Mama" l'eut découvert.
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Jean-Luc
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Une nouvelle écrivaine, très douée, Paula Pausini, a pondu un récit :
Il était une seconde, une minute, une heure, un jour, sur une terrasse près de la mer, une famille. Ils étaient tous en bottes, cravate/nœud papillon et maillot de bain. Hommes et femmes. Garçons et filles. La famille était TRÈS charmante, et hum, comment dire ? un peu spéciale. En effet, le père était un peu... Mais rassurez-vous, sa fille le comprenait parfaitement. Elle n'était pas sa fille pour rien ! “Non mais c'est vrai, sérieux, commença le père, pourquoi l'eau de la mer ne tombe pas de la Terre ?“. Il a crié tellement fort qu’il a fait sursauter tout le monde. “Non mais ça va pas à la tête ou quoi ?”, dit sa femme, une main sur son cœur. “Tu nous as fait peur, ajouta-t-elle, heureusement qu'on est pas cardiaques ici”. “Eh mais c'est vrai ça, commença sa fille, pourquoi l'eau qu'il y a dans la mer ne tombe pas ? La terre est ronde donc l’eau, elle doit tomber au bout d'un moment.” Elle prend un ballon, demande à son frère de le lui tenir, prend de l'eau et renverse le tout sur le ballon. “AH MAIS SI !!!!!!”, lança le père “Quoi ?” “En fait, l'eau de la Terre ne tombe pas car il y a du scotch qui fait tenir l'eau, l'eau se colle au scotch” “Ooooh mais c’est trooop bien ! C’est pour ça alors que…” “Eeeh ! Bande de voleurs ! Rendez-moi mon ballon sinon j'appelle mon chien !” “Quel abruti celui là, y’a pas de chien ici, c'est interdit. Il vient d'où celui-là ? Du ventre de sa mère ou quoi ?” “Euh papa…” “Chut, tu me déranges". Soudain, de l'eau s’échappa d'un nuage. Conclusion “IL PLEUT”, “IL PLEUT”, “IL PLEUT”, “IL PLEUT”,“IL PLEUT”, “IL PLEUT”,“IL PLEUT”, “IL PLEUT”,“IL PLEUT”, “IL PLEUT”,“IL PLEUT”, “IL PLEUT”,“IL PLEUT”, “IL PLEUT”,“IL PLEUT”, “IL PLEUT”, “C’EST LA FÊTE À LA GRENOUILLE !!!” “Ah bon ? C’est pas la saint Juliette aujourd'hui ?” … Sans …commentaires … “Eh mais les gens ? Pourquoi l'eau des nuages tombe sur nous du coup ? Normalement elle devrait …” Il fut coupé par des : “Oh c'est bon on a compris. Maintenant chut”, “Oh tais-toi”, “Tu peux pas te taire cinq minutes ou c'est trop demander”… “J’allais juste… dire que… bah l’eau… Heureusement que l'on a de l'eau dans nos vies, car sinon on n'existerait pas. Non mais attendez, vous imaginez ? Sérieux imaginer que l'eau n'existe pas. ON VA TOUS MOURIR ! JE SUIS TROP JEUNE POUR MOURIR !!!!… Ok c’est bon, j’arrête”. Pendant dix minutes, il ne dit rien, pas un mot. Au moment où il ouvrit la bouche pour parler, tout le monde se leva et le laissa tout seul. “Qu'est-ce que j'ai fait encore ? C'est toujours moi la victime dans l'histoire ! Y’en a marre à la fin !”
Donc vous avez pu voir que le récit pondu par Pausini était très... mouvementé et riche en émotions. Rien que par celui-ci, on peut constater qu'elle devait être bourrée quand elle l'a écrit ou simplement que ça ne va pas très bien dans sa petite tête. Pausini a un talent fou ! “Folle ! C’est une fille bon sang de bonsoir !” “Mais qu'est-ce que tu fais ? Comment tu as fait pour venir t'incruster dans ma conclusion ? L’histoire est finie pour toi ! Espèce de fou.” “Ah autant pour moi ! Désolé, bye”. Non mais j'hallucine ! Jusqu’ici ! C’est vraiment n’importe quoi ! PAUSINI ! T’ES TROP FORTE ET GÉNIALE !!!
Aurore
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Un jour, le Soleil demanda à la Terre d’arrêter de tourner autour de lui car celle-ci l'intimidait et lui donnait des vertiges. La Terre ne voulant pas, il alla demander aux autres planètes qui refusèrent également. Le Soleil décida donc de les punir en s’éteignant. C’est alors qu’un astronaute fut envoyé dans l’espace afin de rebrancher le Soleil à sa prise. À son retour, la foule l’acclama. Le Soleil, lui, pour punir la Terre, lui envoya un astre qui lui donnera également des vertiges, on l’appelle la Lune qui tourne sans arrêt autour de la Terre.
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Louisa
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Un bel écrivain très doué, son nom : Foloras, a chanté un récit :
Il était un jour dans les étoiles du merveilleux, deux météorites au bord de la pauvreté. L’une se croyait mère de l’autre tandis que celle-ci se croyait le soleil du monde. Appelons la première Rosie et la seconde Rosa. Rosie disait à Rosa « Je suis ta mère et tu me dois le respect » et Rosa répondit gaiement : « Et moi je suis Jean Pape LeClaude et tu me dois 5 €. »
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Donya
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Un nouvel écrivain très douée, Jean de lumière a pondu un récit :
Il était une fois un petit garçon qui s’appelait Gon et qui voulait partir à l’aventure pour retrouver son père et pour cela il a commencé tout d’abord par passer un test pour avoir le titre de Hunter ; avec ce titre il pourra aller dans différents endroits pour rassembler des informations sur son père. Durant son périple il a réussi à vaincre énormément d’ennemis comme par exemple la gorgone, le minotaure, le kraken, etc.… Il a également rencontré beaucoup de personnes et il s’est fait beaucoup d’amis. À la fin de son périple, il a fini par rencontrer son père mais il pensait beaucoup à repartir à l’aventure car il a aimé cette époque de sa vie. Du coup il repart pour de nouvelles aventures et il va devenir de plus en plus célèbre.
Voilà donc le récit de Jean de lumière. N’a-t-il pas beaucoup, beaucoup d’imagination ?
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Julien
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Un nouvel écrivain très doué, Janani la boss de la mocheté, a pondu un oeuf — oh oups — a pondu un récit :
Il était une fois une fille très douée en maths, qui est née le premier jour de l'année. Elle gagne sa vie grâce aux maths. Elle a un cerveau très développé comme celui d'Einstein. Elle a des atouts partout, partout, de la tête jusqu'aux pieds, des bras jusqu'aux jambes, des cheveux jusqu'au ventre, etc. Mais son défaut c'est qu'elle est devenue la boss, la boss des mochetés.
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Laetitia
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Un nouvel écrivain très doué, Monsieur Endormi a pondu un récit :
Il était une fois, une jolie princesse qui se prénommait Aurore. Elle avait tout, elle était si belle, si intelligente, si merveilleuse, si merveilleusement très belle. Enfin bref, elle était la définition d’une vraie princesse.
Toute personne parfaite a sûrement un défaut. Son défaut, c’est qu’elle s'endormait à n’importe quel moment.
Un jour, elle était en randonnée. Tout à coup, elle s’endort, tombe au fin fond d’une forêt et meurt. Ce n’est pas pour rien que nous l’appelons la Belle au bois Dormant.
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Janani
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Un écrivain très doué, Jean Sérien, a pondu un récit :
Il était une fois, en Crête, un jeune homme nommé Thésée qui part dans le labyrinthe pour tuer le Minotaure. Pour qu'il ne se perde pas, Ariane lui tisse un fil pour entrer dans le labyrinthe et retrouver son chemin. Traversant chaque couloir, il remarque plein d'ossements humains ainsi que des traces de sang le long des murs. Soudain, la torche s'éteint, il entend de bruits de pas et de fortes respirations. Le bruit s'approche, tout près de lui, il saisit son épée et tente de lui trancher la tête. "Eh attends! Fais doucement avec ça tu pourrais tuer quelqu'un!", dit le Minotaure. "Quoi?! Tu te fous de moi? Bien sûr que j'ai l'intention de tuer quelqu'un et c'est toi!", dit Thésée. "Eh attends! Si tu veux me tuer parce que j'ai soi-disant mangé les habitants, sache qu'ils sont en vie". "Je vais plutôt te trancher la tête pour tes atrocités!" "Arrête avec ça et suis-moi". Le Minotaure l'amène jusqu'au centre du labyrinthe et Thésée voit à travers un étrange miroir tous les disparus s'amuser au bord de la plage, buvant à volonté. "Tu vois je les ai pas mangés, quelle idée beurk! Vous les humains avez mauvais goût, je préfère les tacos ou les hamburgers". C'est une blague ou quoi?! Je pars tuer le Minotaure en croyant que vous étiez tous morts au lieu de ça, vous vous amusez comme si de rien n'était!". "Amuse-toi au lieu de plomber l'ambiance, bois un coup ça va te faire du bien". Il boit un verre puis deux puis trois et ne s'arrête plus. Thésée oublie sa mission et sympathise avec le Minotaure, ils jouent ensemble et rient ensemble, on dirait qu'ils sont amis depuis toujours.
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Luca
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